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http://www.actualitte.com/actualite/22290-preter-ebook-kindle-presse-application.htm
Et ce sont les ch'tits gars de Barnes & Noble qui doivent avoir des sueurs froides...
Rédigé par Nicolas Gary, le samedi 23 octobre 2010 à 12h15
Le vent de la révolte souffle dans la firme de Seattle : Barnes & Noble a depuis longtemps mis en place un outil permettant aux usagers du Nook de prêter un livre numérique acheté dans leur ebookstore, durant 15 jours. Jusqu'à lors, la chose était impossible avec le lecteur ebook d'Amazon, le Kindle.
Mais les temps changent... Progressivement, certes, mais assurément, les temps changent. Sur le même principe que le prêt de livres entre possesseurs de Nook, les propriétaires d'un Kindle pourront à l'avenir prêter un de leurs livres durant une période de 14 jours.
Et toujours se calquant sur la possibilité offerte par le Nook, le livre prêté sera alors supprimé de la bibliothèque du Kindle au cours de cette période. L'utilisateur aura cependant la possibilité de 'rendre' le livre avant la date butoir.
Cependant, restrictions amazoniennes oblige, les ebooks ne pourront pas être prêtés plus d'une fois. Il s'agit donc uniquement de faire circuler les ouvrages et de donner envie aux autres détenteurs d'un Kindle de passer à l'acte d'achat.
À la discrétion des éditeurs
En outre, seuls les éditeurs autoriseront ce droit de prêt pour les livres qu'ils auront élus, précise le cybervendeur pour prévenir de tout clash. Cela permettra également d'éviter de revivre la situation un peu lourde vécue avec la fonctionnalité Text-to-Speech. Cette dernière permettait au Kindle de lire un ebook, avec une voix de synthèse, mais avait provoqué une montée aux créneaux des éditeurs, estimant qu'il y avait là violation du droit d'auteur. Un véritable esclandre s'en était suivi, quand les associations de défense des handicapés visuels s'étaient emparées de l'affaire. (notre actualitté)
Appel du pied aux bibliothèques
Dans tous les cas, cette nouvelle fonctionnalité, offre à Amazon de rattraper son retard sur Barnes & Noble dans le domaine. Elle ne sera mise en place que dans la prochaine version du firmware du Kindle, qui n'a pas encore été annoncée. Notons également qu'elle permettrait de généraliser l'utilisation du Kindle dans les bibliothèques, tout en respectant les normes en vigueur en matière de sécurité - plus concrètement, les DRM idoines du Kindle.
En effet, si les livres sont à même d'être prêtés, les établissements américains pourraient être bien plus intéressés par l'utilisation d'un Kindle. Et les possesseurs beaucoup plus avantagés, puisque l'offre d'ebooks dépasse les 700.000 nouveautés.
La presse pas oubliée
Enfin, Amazon n'oublie pas les lecteurs de la presse qui disposeront prochainement d'une application leur permettant de lire leurs journaux quotidiens. Le tout même si l'on n'a pas son Kindle sous la main, ou que l'on n'a pas de Kindle tout court. Cette autre option sera disponible plus tard dans l'année.
Mais les temps changent... Progressivement, certes, mais assurément, les temps changent. Sur le même principe que le prêt de livres entre possesseurs de Nook, les propriétaires d'un Kindle pourront à l'avenir prêter un de leurs livres durant une période de 14 jours.
Et toujours se calquant sur la possibilité offerte par le Nook, le livre prêté sera alors supprimé de la bibliothèque du Kindle au cours de cette période. L'utilisateur aura cependant la possibilité de 'rendre' le livre avant la date butoir.
À la discrétion des éditeurs
En outre, seuls les éditeurs autoriseront ce droit de prêt pour les livres qu'ils auront élus, précise le cybervendeur pour prévenir de tout clash. Cela permettra également d'éviter de revivre la situation un peu lourde vécue avec la fonctionnalité Text-to-Speech. Cette dernière permettait au Kindle de lire un ebook, avec une voix de synthèse, mais avait provoqué une montée aux créneaux des éditeurs, estimant qu'il y avait là violation du droit d'auteur. Un véritable esclandre s'en était suivi, quand les associations de défense des handicapés visuels s'étaient emparées de l'affaire. (notre actualitté)
Appel du pied aux bibliothèques
Dans tous les cas, cette nouvelle fonctionnalité, offre à Amazon de rattraper son retard sur Barnes & Noble dans le domaine. Elle ne sera mise en place que dans la prochaine version du firmware du Kindle, qui n'a pas encore été annoncée. Notons également qu'elle permettrait de généraliser l'utilisation du Kindle dans les bibliothèques, tout en respectant les normes en vigueur en matière de sécurité - plus concrètement, les DRM idoines du Kindle.
En effet, si les livres sont à même d'être prêtés, les établissements américains pourraient être bien plus intéressés par l'utilisation d'un Kindle. Et les possesseurs beaucoup plus avantagés, puisque l'offre d'ebooks dépasse les 700.000 nouveautés.
La presse pas oubliée
Enfin, Amazon n'oublie pas les lecteurs de la presse qui disposeront prochainement d'une application leur permettant de lire leurs journaux quotidiens. Le tout même si l'on n'a pas son Kindle sous la main, ou que l'on n'a pas de Kindle tout court. Cette autre option sera disponible plus tard dans l'année.